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      LA MONGOLIE DANS SON ESPACE RÉGIONAL Entre mémoire et marques de territoire des mondes anciens à nos jours | 
      
       
      > EXTRAITS | 
    
   
   
     Anna Caiozzo, directrice de collection 
     Etudes réunies par Anna Caiozzo et Jean-Charles Ducène | 
     
      15,5 cm x 23 cm 294 pages - broché 2020 ISBN-13 978-2-36424-067-4 Prix € 22 | 
    
   
   
     
Pour les nomades, ces « sociétés à pattes », comme les surnomme le géographe Christian Grataloup, les marques de territoire constituent à la fois des formes de repérage et d’appropriation de l’espace. Ainsi, les populations turco-mongoles de l’Asie centrale à la Mongolie possèdent-elles certaines  pratiques culturelles communes relatives à la gestion de leurs espaces désertiques et montagneux. 
Dans ces milieux difficiles par les sols et les climats, les nomades établissent des liens avec le visible et l’invisible par le biais de gestes rituels, qui alliés à certains aménagements anthropiques, participent d’une sorte d’apprivoisement de la nature. 
Trois thématiques explorent ici  la façon dont les peuples de Mongolie contrôlent et interagissent avec leurs espaces : les pratiques culturelles symboliques, l’usage tardif et administratif de la cartographie, et l’attachement à des objets renvoyant aux lieux de mémoire ancrés dans le territoire. Les voyageurs et les géographes, d’Orient comme d’Occident, qui visitèrent ces contrées éloignées du Moyen âge à l’époque moderne, avaient d’ailleurs bien consigné la singularité des territoires, des hommes et des croyances, et l’importance pour les imaginaires du souvenir de l’empire mongol. 
Un souvenir qui se perpétue dans les contrées voisines de la Mongolie, le Kazakhstan notamment, naguère partie intégrante de cet empire, et qui eurent d’ailleurs un destin politique quasi similaire au XXe siècle, jusqu’à ce que la liberté retrouvée des peuples redonne à l’islam local un rôle pour ainsi dire mémoriel et identitaire. 
 
> SOMMAIRE 
 
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